Le Liban au detour de la lecture du Capitaine Grant

Ils formaient comme de hautes cheminées d’usines, car la flamme les avaient creusés intérieurement dans toute leur longueur. Avec le seul revêtement d’écorce qui leur restait, ils ne s’en portaient pas plus mal. Cependant, cette fâcheuse habitude des squatters ou des indigènes finira par détruire ces magnifiques arbres et ils disparaîtront comme ces cèdres du Liban, vieux de 4 siècles, que brûle la flamme maladroite des campements.

(Jules Vernes dans Les enfants du Capitaine Grant, deuxième partie, chapitre XV)