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Une année littéralement durant laquelle les libanais ont été scotchés aux nouvelles après une longue période d’insouciance et de culture du Malachi.

En témoigne même, cette sorte de fascination qu’on désormais les gens vis-vis des chaines de télévisions même dans les petites échoppes. On n’y vient pas, à la base, pour la qualité des marchandises, peut-être parfois pour cette culture du quartier et cette restauration des contacts humains, mais aussi pour discuter de la politique, chose précédemment longtemps évitées selon les couleurs d’appartenance à des partis dont les dirigeants sont aujourd’hui rejetés dans leurs globalité.